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  • Les califes de Dieu selon le coran.
    Le mot « califat » ou « successeur » renferme ce sens dans lequel se dégage celui qui est investi par quelqu’un comme successeur. Le calife ou le successeur est celui dont la personnalité est reliée à celui qu’il représente. Et dissocier à lui, cela n’a plus de signification pour lui. Il ne sera plus digne d’être successeur s’il montre un signe ou fait quelque chose qui est contraire aux actes de la personne qu’il représente. Le califat qui parait dans la déclaration « je fais de toi mon représentant… » (1) Ne concerne pas seulement Adam. Il traduit le statut de l’homme en général. Etant donné que la représentation de dieu implique la connaissance de tous les noms et que le savoir se classe par niveau, le califat (représentation de Dieu) se classe aussi selon les niveaux. Chacun représente Dieu proportionnellement à la manifestation des noms de Dieu en lui.

    Les personnes sur s’applique Califat ul Allah

    Selon ce qu’on a dit, les infaillibles sont les plus complets représentants de Dieu car un hadith présente le prophète (ç) comme la 1ère expression de Dieu : « Ma lumière est la 1ère chose que Dieu a créée ». (2) Un hadith de l’imam Ali (as) révèle : « Il n’y a pas un signe supérieur à moi » (3), le contenu de la Ziarat Jami’oul Kabira et bien d’autres traditions et les attributs des Ahl-ul-bayt les placent au 1er rang des représentants de Dieu

    Après les 14 infaillibles, les envoyés et es messagers de Dieu viennent ensuite les ascétiques, certains hommes pieux dotés de connaissances et versés dans les bonnes œuvres. 

    I- Qui est le Califat ul Allah ?

    Premièrement, Dieu a attribué à l’homme la capacité de devenir son représentant en insufflant son esprit en lui. Nous remarquons par exemple les versets « j’y ai insufflé mon esprit » (4) et «je fais de toi mon calife » (5) que le discours traduit une certaine idée de constance de la représentation. L’interprétation suivie de ces versets (6) laissent comprendre que le prophète Adam n’est pas l’unique représentant de Dieu. Le titre s’étend à tous les hommes.

    Deuxièmement, le voie pour y accéder a été tracée dans les saintes écritures pour serviteurs pieux et droits, les parfaits intermédiaire pour ce poste c’est-à-dire les prophètes et les messagers.

    Le critère de la représentation de Dieu passe par la connaissance des noms. Et le savoir a des niveaux. La représentation aussi a des niveaux et est proportionnelle à l’expression des noms de Dieu en chacun. Cependant, les versets qui parlent de l’instauration du représentant (7) (et exposent la connaissance de « tous les noms ») désignent le califat du calife complet et accompli. On peut alors développer ainsi les niveaux du califat :

    a- certains se sont égarés de ce chemin et ont pris le chemin de Satan : ce sont les représentants et les califes de Satan.

    b- celui-ci exprime en lui les noms de Dieu, même faiblement, est en soi un représentant de Dieu.

    c-les hommes en qui les noms de Dieu se manifestent faiblement ou moyennement et expriment cette qualité en eux par moment ou constamment sont les représentants de Dieu en fonction de leur situation.

    d- certains ont développé en eux les noms et les attributs de dieu bien au-delà d’une simple habitude, de manière à ce que cela est pratiquement devenu inné. Ils ne s’en séparent jamais. Car il est difficile de dissocier ce qui s’est encré dans l’essence de l’être et forme désormais une même entité avec lui. Le califat de telle personne est associé à on essence et ne le quittera jamais ;

    Le dernier niveau concerne les hommes accomplis. Quant à d’autres niveaux on y retrouve des hommes moyens et faibles. Chaque niveau a aussi des subdivisions. (8)

    Par rapport au fait que le représentant doit refléter l’image de celui qu’il représente, le 1er à apparaitre est le 1er calife de Dieu. Comme il est philosophiquement établi que l’essence divine est unique et absolue, il ne peut en résulter qu’une chose. Un élément unique n’a pas de paire pourqu’on suppose l’apparition d’une autre paire. La perfection absolue se manifeste alors dans tous ses aspects.et son 1er produit sera une créature complète et parfaite. Cette créature n’est rien d’autre que l’homme parfait et le représentant direct qui est aussi dotée de qualités et de perfection unique. Il est le reflet de l’absoluité et la perfection de Dieu. Tout autre représentant de Dieu ne l’est que par son biais. Il est en réalité le calife est sous la forme verticale et non horizontale. Ce qui veut dire que si deux personnes ont le titre de calife en même temps, l’un est le supérieur de l’autre. Comme l’imam Ali (as) qui secondait le prophète à son époque ou les imams Hassan (as) et Hossein (as) qui venaient après l’imam Ali (as)…

    Le califat) 2 extrémités d’un côté Dieu qu’on a déjà démontré jusqu’ici, l’autre côté qui est la représentation dans le monde. Le calife complet est présent dans tout l’univers. Il est l’intermédiaire par qui vient toute la providence. Il est le gérant et l’organisateur de l’ordre du système universel. Il représente en même temps la science, la puissance, la vie, la richesse la guidance de bien et il est celui par qui passe la science, la puissance, la vie, la richesse… Pour atteindre les autres créatures. Comme ce hadith qui dit : « par vous Dieu ouvre, par vous il clôture. Par vous il efficace ce qu’il veut et fait descendre la providence… » (9) et bien d’autres hadiths.

    II- Sur qui s’applique le titre, de Califat ul Allah

    Par rapport à ce qu’on a déjà démontré jusqu’ici, les 14 infaillibles sont au 1er rang des plus parfaits et accomplis des représentants de Dieu, selon ce qui se dégage des hadiths qui présente comme la 1ère lumière créée, par Dieu : «Ma lumière est la 1ère chose que dieu a créée » (10) L’imam Ali (as) dit : « Il n’y a pas un signe de Dieu supérieur à moi ». (11) Le contenu de la Ziarat Jami’oul Kabir et bien d’autres textes présentent les infaillibles comme les plus parfait et accomplis des califes de Dieu.

    Les envoyés et les messagers, en dehors de la 1ère catégorie, sont des représentants de Dieu, tel qu’il est mentionné dans le verset sur Adam ou des hadiths dans lesquels le mot calife est utilisé. (12)

    Certains actes de Dieu sont attribués au prophète (ç) dans des versets et des hadiths. Comme par exemple Moise qui fend la mer, la femme qui se transforme en jardin paisible pour Abraham, la soumission du vent et autres au prophète Souleymane, la guérison des aveugles et la résurrection des morts par Jésus. Tous ces exemples et bien d’autres gestes incompatibles avec la causalité dans la nature montrent que ces personnes sont bel et bien les califes et les représentants de Dieu.

    Après le niveau de 14 infaillibles, des prophètes, des messagers et des envoyés vient la catégorie des califes de Dieu où on trouve certains pieux ascètes, bienfaiteurs, savants sur qui se voit l’expression des noms de Dieu. On voit dans le coran comment dieu se substitue aux combattants : « vous ne les avez pas tué mais c’est plutôt Allah qui les a tué » (13) et « combattez les, Dieu les punira par vos mains… » (14) Beaucoup de gestes provenant des mains des combattants dans ces versets sont attribués à Dieu ? Dans les hadiths, certains compagnons tels que Salman (15) , Abouzar, fiddha… sont présentés comme faisant partie des Ahl-ul-bayt, une forme de représentation directe de la famille du prophète (ç). Au sens large de l’existence de chacun. Ils sont par conséquent les représentants et les califes indirects de Dieu. On peut aussi citer les gnostiques accomplis et certains prodiges comme les califes de Dieu. Voici une brève bibliographie pour acroitre ses connaissances sur le sujet :

    1- Tafsir al Mizan, verset 30à 34 de la sourate Baqarah

    2- Tafsir Nasim, Javad Amoli, Abdollah, vol 3, page 17- 321

    REFERENCE :

    1- Sourate Baqarah : 30

    2- Behar ul anouar, vol 15, page 24

    3- Behar ul anouar, vol 23, page 206

    4- Sourate Hijr: 29

    5- Sourate Baqarah: 30

    6- Tafsir tasnim, vol 3, page 41et 293

    7- Sourate Baqarah: 30-33

    8- Tafsir tasnim, vol 3, page 53-54 et 94-99

    9- Mafatih jinan

    10- Behar ul anouar, vol 15, page 24

    11- Behar ul anouar, vol 23, page 206

    12- Behar ul anouar, vol 36, page 417

    13- Sourate Anfaal: 17

    14- Sourate Tawba: 14

    15-Behar ul anouar, vol 17, page 170


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  • Séminaires de Qom (hawzah)

    Qom est actuellement l'un des deux plus grand centres d'éducation chi'ite duodécimain du monde. Les séminaires (hawzah) suivants sont situés dans la ville :

    Séminaire Feyzieh de Qom
    Séminaire Amuliyah
    Séminaire Ayatollah Golpayegani
    Séminaire Ayatollah Mar'ashi Najafi
    Séminaire Abul-Sadigh
    Séminaire Imam al-Husayn
    Séminaire Imam al-Askari
    Séminaire Imam al-Mahdi
    Séminaire Imam al-Hadi
    Séminaire Rasul ul-A'dham
    Séminaire Sayyed Hasan al-Shirazi
    Séminaire Alwandiyah
    Séminaire Imam al-Khamenei
    Séminaire Imam al-Baqir
    Séminaire Imam Hasan al-Mujtaba
    Séminaire Imam Khomeini
    Séminaire Imam al-Sadiq
    Séminaire Imam al-Hadi
    Séminaire Amir al-Mu'menin
    Séminaire Bi'that
    Séminaire Jabir ibn al-Hayyan
    Séminaire Al-Zahra
    Séminaire Jafariyah
    Séminaire Haj Sayyed Sadiq
    Séminaire Haj Ghazanfar
    Séminaire Hojattiyeh
    Séminaire Hossaynie
    Séminaire Hadhrat al-Masuma
    Séminaire Dar al-Shifa
    Séminaire Rasul al-Akram
    Séminaire Sa'adat
    Séminaire Sharafiddin Amili
    Séminaire Shahabiyah
    Séminaire Shahid Sadr
    Séminaire Shahidayn
    Séminaire Sadiqqiyah
    Séminaire Saduq
    Séminaire de la justice
    Séminaire Alavi
    Séminaire Fatimie
    Séminaire Feyzie
    Séminaire Qadiriye
    Séminaire Kermani-ha
    Séminaire Ma'sumiye
    Séminaire Mahdi Mow'ud
    Séminaire Na'ini
    Séminaire Wahidiyah
    Séminaire Wali Asr
    Séminaire Al-Alam
    Séminaire Ad-Dirasat al-Islamiyya
    Séminaire Maktab al-Mahdi
    Séminaire Maktab at-Towhid
    Séminaire al-Kawthar
    Les séminaires reçoivent quelque 70,000 élèves.


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  • Mosquées, madrasas et tombeaux de la province de Qom

     imamzadeh seyyed sarbarsh

       La mosquée Azam est la plus importante des mosquées jouxtant le tombeau sacré. Elle fut construite en 1954 et décorée de céramiques traditionnelles. En ville, la mosquée du Vendredi (Masjed-e Jãmeh) fut fondée à l’époque Seldjoukide au XIIe s.: la salle du mihrab et sa coupole datent encore de cette période, mais la mosquée fut restaurée et décorée sous les Safavides puis sous les Qãjãrs.

    De l’ancienne mosquée du Vendredi, les rénovations et transformations successives n’ont plus rien laissé de l’époque de la fondation (IXe s.).

       Les madrasas sont nombreuses, mais leur valeur esthétique n’est parfois guère proportionnelle à la célébrité de leur enseignement et de leurs professeurs. L’une des plus importantes est la madrasa Feyziyeh, fondée sous les Safavides puis transformée et agrandie à l’époque Qãjãr au début du XXe s. Au sud, on peut encore voir un portail Safavide (XVIe s.).

       Plus de 300 Imãmzãdehs sont enterrés dans la ville. Leur mausolée a souvent été rénové, refait ou redécoré au cours des siècles. Plusieurs ont été fondés à l’époque Ilkhãnide (XIVe-XVe s.) et souvent redécorés de céramiques sous les Qãdjãrs (1779-1925).

    Leur architecture immuable est une salle à coupole, coiffée d’un dôme aux formes diverses (bulbe, cône, cône pyramidal, etc.), décorée de céramiques et de stucs.
    gonbad-e sabz

       On peut citer Imãmzãdeh Shãh Ebrãhim, fondé à l’époque Safavide, l’lmãmzãdeh Shãh Hamzeh (XVIe s.), coiffé d’un dôme élancé du début du XXe s., les Imãmzãdeh Shãhzãdeh Ahmad Qãsem et Seyyed Sarbarsh, tous deux fondés au XIVe s. et décorés de plâtre sculpté et coloré, et l’lmãmzãdeh Ali Ibn Jafar (XIVe s.), paré d’un magnifique décor de stuc et de céramiques.

    Trois tours funéraires polygonales du XIVe s. se trouvent dans le jardin de Gonbad-e Sabz: deux sont coiffées d’un dôme pyramidal couvert de turquoise, l’autre d’un dôme en briques. L’intérieur est décoré avec des motifs en stuc.

       De nombreux Imãmzãdehs se trouvent également dans les villages avoisinants Qom, il n’y a aucun monument majeur, mais on peut signaler le mausolée de Kehak, un village qui abrite également la maison restaurée de Mollã Sadrã Shirãzi, un philosophe et théologien (1571-1640) à l’influence aujourd’hui encore considérable.

    Source: RINGGENBERG. Patrick, Guide culturel de l’Iran, éd. Rowzaneh, Téhéran, 2005, P.326. 

     

    Tebyan

     


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  • Traduit par Jean d’Agape

    Le Prophète (PSLF) a dit à l’Imam’Ali (AS):

    يا علي مَن زارَني أو زارَ أحَداً مِن ذُرِّيَّتي زُرتُهُ في يَوْمِ القِيمَةِ فَأنقَذتُهُ مِنْ أهوالِها؛

    «Ô ’Ali! Celui qui me rend visite ou qui rend visite à l’un de mes descendants, je lui rendrai visite le Jour du jugement dernier en le protégeant contre les horreurs de la Résurrection.»

    Source: Thawãb-ul-A’mãl, p. 242; Kãmil-o-Ziyãrãt, p. 41 ; Bihãr Al-Anwãr, vol. 100, p. 123.

    Expliquant la biographie de l’Imam Moussã Kãdhim (AS), nous trouvons dans Tohfat-ol-Mozafariyah fi Tadhkarat Olãd el Aïmat, quatre hadiths rapportés de trois imams, sur les mérites de la visite de l’honorable Fatima Ma’ssumeh (SA) enterrée à Qom.

    1. L’honorable Imam Sãdiq (AS) dit: «En fait, il y a pour le Seigneur Très Haut un sanctuaire qui se trouve à La Mecque et pour le Prophète (PSL) un sanctuaire qui se trouve à Médine et pour l’émir des croyants (AS) un sanctuaire qui se trouve à Koufa et pour nous l’Ahl-ul-Bayt (AS), un sanctuaire qui se trouve à Qom. Bientôt y sera enterrée une femme de mes enfants qui s’appelle Fatima»من زارَها وَجَبت له الجنّة» Le paradis sera obligatoire à celui qui lui rendra visite. Et un autre hadith dit: «اِنَّ زيارتها تعادل الجنّة» «Certes lui rendre visite mérite le paradis comme récompense».

    2. Interrogé par Sa’d ibn Sa’d sur Fatima, fille de Moussã ibn Ja’far (AS), l’Imam ’Ali ibn Moussã Al-Ridhã (AS) a dit: «من زارها فله الجنة» «Celui qui lui rend visite entrera au Paradis».

    3. Il dit encore à Sa’d: «Est-ce qu’il y a une tombe de nous chez vous?» Il répond: «Oui, que mon père et ma père soient sacrifiés pour toi! Fatima, fille de Moussã Ibn Ja’far. Il dit alors: «من زارها عارفاً بحقها فله الجنة» Celui qui la visite en connaissance de cause recevra le paradis pour récompense».

    4. L’Imam Mohammad Taqi (AS) dit: «من زار عمّتي بقم فله الجنّة»; «Celui qui visite ma tante à Qom  , le Paradis lui appartiendra».

    5. Hadith Fatemiya: station d’intercession de l’honorable Ma’ssumeh (SA)

       L’intercession est un don divin que le Seigneur Très Haut fait à des gens aux âmes divines. Selon les hadiths et les traditions, le plus haut degré de cette station est celle nommée «Mahmoud» dans laquelle le Noble Prophète (PSL) se lèvera le Jour du jugement dernier, et d’où il versera la lumière de l’intercession sur sa communauté.

    Source: Extrait de «Qom dans le trésor des savants», Hãjj Sheikh Mohammad Sharif Rãdhi.

     


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  •     On pense que Qom existait à l’époque pré-islamique. Les découvertes archéologiques indiquent que Qom était un lieu résidentiel depuis le Ve millénaire av. J.-C. D’après les restes de cette période et les textes historiques, Qom était une grande ville. ’Kom’ était le nom de l’ancien rempart de la ville de Qom, et les arabes l’appelèrent Qom pendant la conquête de l’Iran.

    C’est durant le règne du second calife, Omar, que le centre de Qom fut pris par les musulmans. En 644-645, Abu Moossã Ashari déploya ses troupes à Qom.

       Pendant la persécution des Alavides par les Abbassides et les Omeyyades, de nombreux Alavides fuirent à Qom. Le calife Al-Mamun envoya des forces à Qom en 825, causant un massacre et la destruction de la ville.

        Apprenant la fin du règne de Al-Mamun, les habitants de Qom se révoltèrent et réussirent à chasser le représentant du calife en 831. Cependant, le successeur d’Al-Mamun, Al-Mutassim déploya des forces armées à Qom pour faire taire les émeutes et encore une fois la cité fut détruite. Les troubles continuèrent jusqu’à la dynastie des Bouyides (Al e Booyeh en persan) vienne au pouvoir, puisqu’ils appartenaient à la communauté Alavide. C’est durant leur règne que la cité s’est étendue et prospéra.

        A l’époque Seldjoukide, la cité s’est encore développée. Pendant la première vague de l’invasion mongole, la villeconnut la destruction.

    À la fin du XIVe siècle, la ville connut le joug de Tamerlãne et ses habitants furent encore massacrés. Pendant les périodes de règne des Qara Qoyunlu, Aq Qoyunlu et particulièrement pendant le règne des Safavides, Qom regagna l’attention des dirigeants et se développa graduellement

       En 1503, Qom était devenu un des centres importants de théologie dans l’Islam et devint un centre de pèlerinage et un important pivot religieux.

    portrait de nadir shah

        Pendant l’invasion Afghane, la cité de Qom souffrit de grands dommages, et ses habitants connurent de gros problèmes économiques. Qom a souffert d’autres destructions pendant les règnes de Nãdir Shãh, et les conflits entre les deux maisons Zand et Qãjãre afin de prendre le pouvoir en Iran.

          En 1798, Qom tomba sous le contrôle de Aghã Mohammad shãh Qãjãr. Ayant été victorieux sur ses ennemis, Fath Ali shãh Qãjãr fit des réparations sur le sépulcre et la tombe de Hazrat Ma’soumeh, tenant ainsi sa promesse.

    portrait de ahmad shah qajar  et de son frère mohammad hassan mirza

       La ville de Qom prospéra pendant l’époque Qãjãre. Après que les forces armées russes furent entrées à Karaj en 1915, beaucoup d’habitants de Téhéran se déplacèrent à Qom.

    Le transfert de la capitale de Téhéran à Qom fut discuté. Mais les Britanniques et les Russes brisèrent le plan en mettant sous pression le monarque de l’époque, Ahmad Shãh Qãjãr.

       A cette période, un Comité de défense nationale fut mis en place, et Qom se transforma en centre d’une opposition politique et militaire aux puissances coloniales britanniques et russes.

     

    Attractions de la province de Qom

    mausolée de hazrat massoumeh

    Grotte Kahak

    Grotte Vashnuh

    Lac salé Howz-e Soltãn

    Grand lac salé Namak

    Bibliothèque Mar’ashi Najafi, qui compte plus de 500 000 ouvrages, manuscrits et copies.

    Bazar de Qom

    Mosquée Jamkarãn

    Mosquée Atiq de Qom

    Mosquée A’zam

    Mausolée de Hazrat Massoumeh

     


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  • Au nom d’Allah Le Clément, Le Miséricordieux

        O Allah ! Prie sur Mohammed et sur les gens de sa Famille
        La province de Qom est l'un des 30 provinces d’Iran.La ville de Qom

        Elle est située dans le nord du pays et sa capitale est la ville de Qom. Elle a une superficie de 11237 km², couvrant 0,89 % de la superficie totale de l’Iran. La province compte une ville, 4 départements et 256 villages.

        Aujourd’hui, Qom est considérée comme un des centres de la secte Chiite à la fois en Iran et dans le monde. Son centre théologique et le mausolée de Hazrat Ma’soomeh sont des attractions majeures de la province de Qom.
        Un autre site de pèlerinage est à l’extérieur de la ville de Qom et est appelé Jamkaran. La proximité de Qom par rapport à Téhéran lui donne aussi un avantage.

        Mosquées, madrasas et tombeaux de la province de Qom

        La mosquée A'dham est la plus importante des mosquées jouxtant le tombeau sacré. Elle fut construite en 1954 et décorée de céramiques traditionnelles. En ville, la mosquée du Vendredi (Masjed-e Jameh) fut fondée à l’époque Seldjoukide au XIIe s.: la salle du mihrab et sa coupole datent encore de cette période, mais la mosquée fut restaurée et décorée sous les Safavides puis sous les Qajars.

        De l’ancienne mosquée du Vendredi, les rénovations et transformations successives n’ont plus rien laissé de l’époque de la fondation (IXe s.).

        Les madrasas sont nombreuses, mais leur valeur esthétique n’est parfois guère proportionnelle à la célébrité de leur enseignement et de leurs professeurs. L’une des plus importantes est la madrasa Feyziyeh, fondée sous les Safavides puis transformée et agrandie à l’époque Qajar au début du XXe s. Au sud, on peut encore voir un portail Safavide (XVIe s.).

        La ville de Qom

        Qom (en persan : قم) est une ville d'Iran. Située à 150 km au sud-ouest de Téhéran, c'est la capitale de la Province de Qom. Elle est située le long de la rivière Qom et comptait, en 2005, 1 042 309 habitants.

        Qom est une des villes saintes du chiisme, puisque c'est le site où est enterrée Hazrat Fatimah Ma'sumeh, sœur de Ali ar-Rida (en persan Imam Reza, 789-816). La ville accueille la plus grande hawza d'Iran, qui égale en taille celle de Nadjaf en Irak.

        La ville de Qom est capitale de la province de Qom. A quelque 140 km au sud de Téhéran, elle est située à l’extrémité occidentale du Dasht-e Kavir et à 60 km à l’ouest d’un grand lac salé (Daryacheh Namak).

        La ville fut fondée avant l’arrivée de l’Islam, mais son histoire ancienne ne nous est pas connue. Dans la région, les archéologues ont mis à jour des vestiges du ~Ve mil. et découvert plusieurs chahar taq1 Sassanides (IIIe-VIIe s.).

        La fondation de la ville musulmane est attribuée à des partisans de l’Imam Al-Ali. Cette vocation fut consacrée au IXe s. lorsque Hazrat Ma’ssumeh, la sœur du VIIIe Imam, mourut et fut enterrée dans la ville.

        De nombreux Imamzadehs se trouvent à Qom et dans les villages avoisinants Qom, il n’y a aucun monument majeur, mais on peut signaler le mausolée de Kehak, un village qui abrite également la maison restaurée de Molla Sadra Shirazi, un philosophe et théologien (1571-1640) à l’influence aujourd’hui encore considérable.

        Déjà renommée pour ses écoles théologiques et ses fondations pieuses, elle accueillit désormais un pèlerinage chiite, demeuré l’un des plus importants du pays.

        Après les massacres des Mongols en 1221 et les cruautés de Tamerlan le siècle suivant, Qom renaît rapidement et les souverains timourides la choisissent comme résidence d’hiver pour la chasse. Sa fonction religieuse connaît un nouveau prestige lorsque les Safavides, au XVIe s., imposent le chiisme au pays et font reconstruire le mausolée de Hazrat Ma’ssumeh. Riche de centaines d’Imamzadehs et de tombeaux de théologiens et de princes, Qom vit alors des dons royaux, de l’afflux des pèlerins et d’un artisanat remarquable. Les destructions causées au XVIIIe s. par les Afghans et le frère de Nader Shah ne portent pas atteinte à un rayonnement spirituel qui se poursuit sous les Qadjars avec la construction et la restauration de plusieurs monuments. Au XXe s., l’Imam Khomeyni enseigna dans cette ville traditionaliste qui devint le foyer de résistance à la politique moderniste du dernier roi Pahlawi.

        Aujourd’hui, Qom est une cité de savoir, à l’autorité intellectuelle considérable, où tous les étudiants en théologie aspirent à poursuivre leur formation et à enseigner.

        Note:
        .
        chahar taq- littéralement: «quatre arcs». Edifice cubique, au plan cruciforme, surmonté d’une coupole sur trompes. Conçu par les Sassanides, on le trouve dans des palais, mais il servit surtout de lieu saint dans la religion Zoroastrienne: au centre de la salle, sur un autel, brûle le feu sacré.

        Source: RINGGENBERG. Patrick, Guide culturel de l’Iran, éd. Rowzaneh, Téhéran, 2005, P.324.

        Avec ses centaines de mosquées, de madrasas et de tombeaux, ses milliers d’étudiants, ses femmes en tchador et ses mollas, Qom demeure une ville secrète, à la spiritualité et à l’activité intellectuelle inaccessibles aux visiteurs occidentaux, et un principal centre d’intérêt (le sanctuaire de Hazrat Ma’ssumeh). La ville n’est donc guère touristique, et plus qu’ailleurs, on y exige une tenue respectueuse de l’Islam.

        Comme à Mashhad, le tombeau originel du IXe s. a été agrandi, embelli et rénové au cours des siècles. Les bâtiments actuels remontent pour l’essentiel aux Safavides (1501-1732) et au roi Qadjar Fath Ali Shah (1797-1834), qui fit rénover l’ensemble. Les décors de céramiques sont ponctuellement Safavides, mais le plus souvent Qadjars ou modernes.

        Plusieurs souverains sont enterrés dans le périmètre: les Safavides Shah Abbas 11, Shah Safi Ier, Shah Suleyman, Shah Hussayn, et les Qadjars Fath Ali Shah et Mohammad Shah.
        A deux pas de l’enceinte sacrée, un beau musée conserve les objets donnés au cours des siècles au sanctuaire: Corans, textiles, céramiques, pierres gravées, etc.

        Histoire et culture de la province de Qom

        On pense que Qom existait à l’époque pré-islamique. Les découvertes archéologiques indiquent que Qom était un lieu résidentiel depuis le Ve millénaire av. J.-C. D’après les restes de cette période et les textes historiques, Qom était une grande ville. ’Kom’ était le nom de l’ancien rempart de la ville de Qom, et les arabes l’appelèrent Qom pendant la conquête de l’Iran.

        C’est durant le règne du second calife, Omar, que le centre de Qom fut pris par les musulmans. En 644-645, Abu Moossa Ashari déploya ses troupes à Qom.
        Pendant la persécution des Alavides par les Abbassides et les Omeyyades, de nombreux Alavides fuirent à Qom. Le calife Al-Mamun envoya des forces à Qom en 825, causant un massacre et la destruction de la ville.

        Apprenant la fin du règne de Al-Mamun, les habitants de Qom se révoltèrent et réussirent à chasser le représentant du calife en 831. Cependant, le successeur d’Al-Mamun, Al-Mutassim déploya des forces armées à Qom pour faire taire les émeutes et encore une fois la cité fut détruite. Les troubles continuèrent jusqu’à la dynastie des Bouyides (Al e Booyeh en persan) vienne au pouvoir, puisqu’ils appartenaient à la communauté Alavide. C’est durant leur règne que la cité s’est étendue et prospéra.

        A l’époque Seldjoukide, la cité s’est encore développée. Pendant la première vague de l’invasion mongole, la ville connut la destruction.
        A la fin du XIVe siècle, la ville connut le joug de Tamerlane et ses habitants furent encore massacrés. Pendant les périodes de règne des Qara Qoyunlu, Aq Qoyunlu et particulièrement pendant le règne des Safavides, Qom regagna l’attention des dirigeants et se développa graduellement

        En 1503, Qom était devenu un des centres importants de théologie dans l’Islam et devint un centre de pèlerinage et un important pivot religieux.

        Pendant l’invasion Afghane, la cité de Qom souffrit de grands dommages, et ses habitants connurent de gros problèmes économiques. Qom a souffert d’autres destructions pendant les règnes de Nadir Shah, et les conflits entre les deux maisons Zand et Qajare afin de prendre le pouvoir en Iran.
        En 1798, Qom tomba sous le contrôle de Agha Mohammad shah Qajar. Ayant été victorieux sur ses ennemis, Fath Ali shah Qajar fit des réparations sur le sépulcre et la tombe de Hazrat Ma’soumeh, tenant ainsi sa promesse.

        La ville de Qom prospéra pendant l’époque Qajare. Après que les forces armées russes furent entrées à Karaj en 1915, beaucoup d’habitants de Téhéran se déplacèrent à Qom.
        Le transfert de la capitale de Téhéran à Qom fut discuté. Mais les Britanniques et les Russes brisèrent le plan en mettant sous pression le monarque de l’époque, Ahmad Shah Qajar.
        A cette période, un Comité de défense nationale fut mis en place, et Qom se transforma en centre d’une opposition politique et militaire aux puissances coloniales britanniques et russes.

        Attractions de la province de Qom

        Grotte Kahak
        Grotte Vashnuh
        Lac salé Howz-e Soltan
        Grand lac salé Namak
        Bibliothèque Mar’ashi Najafi, qui compte plus de 500 000 ouvrages, manuscrits et copies.
        Bazar de Qom
        Mosquée Jamkaran
        Mosquée Atiq de Qom
        Mosquée A’zam
        Mausolée de Hazrat Massoumeh
    Qom aujourd'hui


    Aujourd'hui, Qom compte parmi les centres les plus importants du chiisme, à la fois en Iran et dans le monde. Son centre théologique (où les musulmans chiites viennent suivre les leçons de leurs maîtres : les ayatollahs) et le mausolée de Hazrat Ma'sumeh sont les caractéristiques essentielles de la capitale de la province de Qom. Un aute site de pèlerinage en dehors de la ville est appelé Jamkaran.

    Dans la mosquée où repose Fatimah Ma'sumeh, soeur du huitième Imam, morte il y a douze siècles, les gardiens de sa chasse l'aspergent d'eau de rose du matin au soir. Les femmes viennent toucher les parois du sanctuaire pour obtenir bonheur conjugal et fécondité. Depuis la révolution, la mosquée a tendance à devenir un lieu où l'on vénère plus Khomeiny que Fatimah. L'ayatollah, pensent certains de ses fidèles, doit préparer le retour du « douzième Imam », celui qui annoncera en personne la fin des temps.
    La proximité de la ville avec Téhéran a apporté à Qom certains avantages.

    Universités à Qom

    Université Shaikh Mufid de Qom
    Université islamique libre de Qom
    Université de Qom
    Institut de recherche Hawzeh wa Daneshgah
    Centre de recherche informatique des sciences islamiques, Qom
    Institut d'éducation et de recherche Imam Khomeini
    Université des sciences médicales de Qom
    Ecole des sciences médicales Fatemieh

    Séminaires de Qom (hawzah)

    Qom est actuellement l'un des deux plus grand centres d'éducation chi'ite duodécimain du monde. Les séminaires (hawzah) suivants sont situés dans la ville :

    Séminaire Feyzieh de Qom
    Séminaire Amuliyah
    Séminaire Ayatollah Golpayegani
    Séminaire Ayatollah Mar'ashi Najafi
    Séminaire Abul-Sadigh
    Séminaire Imam al-Husayn
    Séminaire Imam al-Askari
    Séminaire Imam al-Mahdi
    Séminaire Imam al-Hadi
    Séminaire Rasul ul-A'dham
    Séminaire Sayyed Hasan al-Shirazi
    Séminaire Alwandiyah
    Séminaire Imam al-Khamenei
    Séminaire Imam al-Baqir
    Séminaire Imam Hasan al-Mujtaba
    Séminaire Imam Khomeini
    Séminaire Imam al-Sadiq
    Séminaire Imam al-Hadi
    Séminaire Amir al-Mu'menin
    Séminaire Bi'that
    Séminaire Jabir ibn al-Hayyan
    Séminaire Al-Zahra
    Séminaire Jafariyah
    Séminaire Haj Sayyed Sadiq
    Séminaire Haj Ghazanfar
    Séminaire Hojattiyeh
    Séminaire Hossaynie
    Séminaire Hadhrat al-Masuma
    Séminaire Dar al-Shifa
    Séminaire Rasul al-Akram
    Séminaire Sa'adat
    Séminaire Sharafiddin Amili
    Séminaire Shahabiyah
    Séminaire Shahid Sadr
    Séminaire Shahidayn
    Séminaire Sadiqqiyah
    Séminaire Saduq
    Séminaire de la justice
    Séminaire Alavi
    Séminaire Fatimie
    Séminaire Feyzie
    Séminaire Qadiriye
    Séminaire Kermani-ha
    Séminaire Ma'sumiye
    Séminaire Mahdi Mow'ud
    Séminaire Na'ini
    Séminaire Wahidiyah
    Séminaire Wali Asr
    Séminaire Al-Alam
    Séminaire Ad-Dirasat al-Islamiyya
    Séminaire Maktab al-Mahdi
    Séminaire Maktab at-Towhid
    Séminaire al-Kawthar
    Les séminaires reçoivent quelque 70,000 élèves.

    Liste de hauts-personnages du clergé de Qom

    La liste suivante est une liste de Grands Ayatollahs et des ayatollahs de plus haut niveau à Qom (ou directement reliés à Qom).
    Actuels
    Grand Ayatollah Noori-Hamedani
    Grand Ayatollah Mousavi Ardebili
    Grand Ayatollah Gharvi-Aliari
    Grand Ayatollah Saafi Golpayegani
    Grand Ayatollah Fazel Lankarani
    Grand Ayatollah Seyd Mohammad Shahroudi
    Grand Ayatollah Makarem Shirazi
    Grand Ayatollah Ali Khamenei
    Grand Ayatollah Sheikh Wahid Khorasani
    Grand Ayatollah Sayyed Kadhim Haeri
    Grand Ayatollah Sayyed Muhammad Vahidi
    Grand Ayatollah Sheikh hasan-zadeh Amoli
    Grand Ayatollah Sanei
    Grand Ayatollah Haj Sayyed Musa Shebiri Zanjani
    Grand Ayatollah Sayyed Muhammad Reza Golpayegani
    Ayatollah Sheikh Jawadi Amoli
    Ayatollah Abolfadhl Khansari
    Ayatollah Haj Sayyed Mahmoud Hashemi Shahroudi
    Ayatollah Sayyed Hasan Taheri Khurram-Abadi
    Ayatollah Sheikh Jafar Sobhani
    Ayatollah Sheikh Muhammad Imami Kashani
    Ayatullah Haj Sheikh Ali Panah Ishtihardi
    Ayatollah Mesbah Yazdi
    Ayatullah Sheikh Haadi Ma`rifat
    Ayatollah Sayyed Muhammad Alavi Gorgani
    Ayatollah sheikh Muhammad Reza Mahdavi Kani
    Ayatollah Sayyed Hassan Abtahi
    Ayatollah Mohsen Qara'ati
    Ayatollah Sheikh Abu Taleb Tajleel
    Ayatollah Sheikh Husein Mazaheri
    Ayatollah Haj Sheikh Ismail Salehi Mazandarani
    Ayatollah Haj Sayyed Mehdi Rouhani
    Ayatollah Haj Sheikh Ali Kashani
    Ayatollah Haj Sayyed Mohsen Kharrazi
    Ayatollah Sayyed Ali Mohaqqeq Damad
    Ayatollah Sheikh Muhammad Ali Gerami
    Décédés
    Hossein Borujerdi
    Abdullah al-Shirazi
    Allameh Tabatabaei
    Mohammad Beheshti
    Hassan Modarres
    Morteza Motahhari
    Mahmoud Taleghani
    Grand Ayatollah Muhammad Taqi Behjat
    Ayatollah Mirza Jawad Tabrizi


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  • Province de Qom avec une superficie d'environ 14631 Kilomètres carrés dans le nord-ouest du centre géographique du pays, et 0.89 De la superficie totale du pays couvre

    Cette province avec une ville, chharbakhsh, 9 Et le district rural 256 Est essentiel pour le village pour la proximité du désert du climat désertique désert et semi. Les résultats suggèrent que l'ancienne région de Qom cognitive au moins dès le cinquième millénaire avant notre ère a été résidentiel.

    Pour appeler les objets hérités et les reliques et les textes historiques, Qom explicitement avant l'Islam, la ville a été relativement importante et crédible. Avec l'arrivée de l'Islam, la ville iranienne de Qom au développement prodigieux de moitié rapide et autonome de la terre pour former un gouvernement au cours de l'a. Rashidun Benny Benny et mia, revenu. Et avec l'avènement et la mort et l'enterrement de Hazrat Masoumeh(Q) Dans cette ville, ce qui rend honneur et la dignité du pays, les soins trouvent Sustainer.
    ostanqum استان قم

    Province de Qom en raison de Mazar-e Sharif Hazrat Masoumeh(Q) Et il est le centre du clergé et de base de la révolution islamique et le commercial et la communication dans une zone sensible de l'extraordinaire position et est très sensibles.

    La province de Qom, quels historiens et les efforts des scientifiques pour ce qui en fait à l'époque de l'année, imputé la dynastie des pishdadian 23 Ah Ibn qays Al-Ash ' ari Abu Musa Abdullah à conquérir et c'est donc avec l'arrivée des Alaouites tuer Hazrat Masoumeh de Fatemeh et enfouissant dans la ville de pacrmutahr, un des centres plus importants étaient les convertisseurs et avec la présence de membres du clergé chiite et les penseurs chiites et les sciences islamiques leçon et discussion sessions constituent une seule des plus importants scientifique et politique des centres..

    Position géographique

    Avec une superficie approximative de Qom 14700 Km et une hauteur 928 Mètres d'altitude, sur une région de plaines de basse altitude est situé. Au nord, Qom, province de Téhéran, du Nord-Ouest et l'ouest sud en parties de tafresh, Saveh, ashtian et Stagecoach (Province centrale) Et par le sud-est à Kashan (Province d'Ispahan.) Et de l'est du désert et de Salt Lake City sera limitée. Province de Qom a deux parties jafariyeh et Qom, centrale, deux noms de villes et khaljstan..

    La ville de Qom

    Dans la montée de la ville de Qom et ses commentaires historiques datant des historiens très a souvenir. Une partie du monument de la ville de tahmors, le troisième roi de la pishdadi ont attribuée.

    Dans le document mctobi que le script de Pahlavi, appelé « khassaro » de koazan et Sassanid rizki a laissé un testament du safran et nzahtgah parle à Qom qomi a allé là que cela représente la ville à cette date..

    Certains des autres développeurs à faire pendant le Sassanid roi Bahram Gur, slsalt et quelques autres de l'Empire achéménide, et ils nous ont laissé dans la formation de la ville ont des connaissances à partager. C'est également la date de la majmuat arabe de Nazareth, l'essor de la ville de Qom, à enseigner l'un des rois de commande keykhosrow a Kian.

    Il a écrit:En l'honneur du site de Qom, les sultans Testament communauté d'eau de la rivière qui permettent kiqabad et anarbar pâturage et a été le tirage au sort mais Turan division temporelle est issue du roi garantit à keykhosrow Bijan fils Gyu, l'eau de Babur mère qomrud à la terre et construit le masla actuel de l'eau est sorti.

    Mais comme cette date, c'est qu'il donne le témoignage de Qom avant la montée de l'Islam et l'arrivée du clan de saran et de chasteté et de propreté (PSL) sur la ville, a une excellente réputation et n'a jamais été une croissance beaucoup ; le dialogue qu'il y avait une grande rivière et causé l'eau rempli à côté de ce lieu, seulement le cumulatif afin de placer le reste dans quelques chapitres..

    Bien que certains de la grande population de l'histoire de bûcherons avant l'Islam a été aussi un nom parmi.. Croissance et la prospérité de la ville sont donc redevables à l'Islam chiite et des immigrants dans ce pays..

    Les noms de la ville de Qom, selon les termes du nom familier est Beit a.s. et livres sur les célèbres dramaturges ont leur extraordinaire lieu est assigné à, mais cette appellation la terre à quelle heure et qui est de cette ville sainte, au nom d'adoption est un autre nom et la désignation de Qom, sur l'élection.

    Ahmed bin Abi Abdullah, écrit électrique: La ville de Qom, Qom pris dès le début à maintenant, l'endroit a eau rétractable et aucune rahgazri pour les espèces végétales et aborandashtah et il est apparu dans la brune ( Langue ) Arabe eau rétractable-dis.

    Dans l'autre endroit.: Sur l'effet d'alfezarha et de la croissance (Dans cette terre de) Ce rallye du désert à ce moment-là et doivent vivre de dustan Tappeh qui abrite et des tentes, "Rick dit que le temps passe par l'acronyme et Rick کُم dit et puis mereb (La prononciation arabe) Et le voyage a été.

    Un autre aspect à ce sujet ont également mentionné: Le کُم ont été comndan à l'Ash (C'est un des villages constitutifs de la ville de Qom. )Et afin de promos sur telfiz il, enlever et la seconde partie appelée کُم et la volonté de manchette deviennent la ghaf, Qom et a dit :.

    Mais le voyage est seulement un endroit géographique précis et non pas le terrain qu'elle aux côtés de livres des géographes ou recherchés sur le lieu Saint, mais les bûcherons et divin.. Il est donc nécessaire de rechercher la cause de sa famille de ghrbar de mot nommage de chasteté et de la propreté d'a.s. "connaissance et intérêt à leur sujet..

    Safwan Imam Sadiq a.s., la narration visuelle, qui m'a dit l'Imam (PSL): Savez-vous pourquoi le Qom de Qom appelé ? En réponse, je l'ai dit:Dieu et son messager et vous le savez mieux.

    Imam (pssl) dit: Sûrement le Qom de Qom appelé verticale à cause de l'Ahl-al (En ce qui concerne l'aéroport excellence jl Cherif )Et avec celui de la résurrection et l'endurance et le prophète va aider.

    Autre récit de certains abumqatel qui dit elleray, MD : J'ai entendu dire qu'abaalhsen Ali ibn Muhammad (Imam Hadi) (PSL) a dit: Qom Qom le demande en raison des terres qui ont été protégés contre la tempête et les jours de Noé, la tempête de l'arche de frapper ce pays qui s'est levé et Qom est un morceau de Jérusalem.

    Centres de pèlerinage spectaculaire et

    Veille des sanctuaires sacrés de sanctuaire Hazrat Masumeh, Ali bin Imamzadeh Ja'far, immaculé, fiziah école, mosquée, l'Imam Khomeini, Hazrat la maison, le jardins et le vert du dôme Sheedi

     


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  • La ville de Qom, où se trouve le mausolée de la Sainte Fatimeh-al-Massoumeh, est le sanctuaire des pèlerins du monde entier, la terre de la connaissance. Dans ce lieu repose la soeur révérende de l’Imam Reza (A.S.), descendant du Saint Prophète de l’islam.

    Le dôme en or du mausolée est le principal objectif pour des pèlerins. Ces personnes au cœur brisé regagnent du courage en embrassant le zarih (la grille entourant la tombe) ; et les cœurs fatigués retrouvent la joie de vivre dans les balcons vitrés du bâtiment. Sa cour ressemble aux jardins d’Eden, ses mosquées et ses portiques sont des refuges pour les chercheurs de vérité, et ses minarets sont les fanions de l’amour pour l’Islam. L’architecture splendide et extraordinaire de ce monument stupéfie les amoureux de l’art. Et les fontaines d’eau donnent aux pèlerins l’espoir et le désir de pouvoir goûter à l’eau de la fontaine de Kawsar au Paradis. C’est comme si une portion du Paradis se retrouvait sur Terre. Son souffle divin confère bonté et quiétude spirituelle aux pèlerins. Heureuses et bénies sont ces personnes qui accomplissent leur voyage en ayant compris le haut grade et le statut élevé de la Dame. Ainsi, prions pour que nos pèlerinage soient acceptées et que cette Sainte nous protège au Jour du Jugement dernier ; que les pèlerins puissent bénéficier de cette spiritualité et de sa bénédiction pendant leur sublime séjour dans la ville de Qom.

    Qom est aussi une ville historique qui est le siège de nombreux centres dispensant des études islamiques, regroupant des étudiants venant de part et d’autre du monde. Ainsi, ces étudiants acquièrent du savoir, et ils profitent également d’une ouverture sur d’autres horizons.



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